Tour de paroles sur les antivols - avril 2017
Voici la synthèse de la question posée aux membres de GéoRéseau : avez-vous des antivols sur vos cartes ?
Oui
Non
Pourquoi ?
Sur les 13 réponses : 9 établissements ne possèdent pas d'antivol sur leurs cartes et 3 en ont (dont 2 partiellement).
Côté sans antivol, les cartes sont sous surveillance (pas de libre accès, rayons sous l’œil des cartothécaires, consultation enregistrée, prêt enregistré). Il n'y a donc pas ou peu de vols (et les vols constatés restent dans des quantités acceptables) et il est inutile d'investir dans les languettes ou des puces RFID, la pose des antivols, un portique.
Quelques extraits de réponse :
Nous n'utilisons pas d'antivols pour les cartes car elles ne sont pas en libre accès et font de toute façon l'objet d'un prêt enregistré sur la carte du lecteur dans le SIGB pour leur consultation sur place (sur une table spécifique placée sous surveillance). Si le document n'était pas restitué au départ du lecteur, nous en aurions la trace informatique. Et tant mieux car je ne sais pas bien où nous pourrions fixer ces antivols !
Nous n'avons aucun antivol. La salle est sous nos yeux donc le risque que les lecteurs volent un document est minime. Nous enregistrons toutes les sorties : les prêts dans un fichier Excel, la consultation dans la salle de lecture attenante dans un cahier (avec échange des documents contre la carte d'étudiant).
Les consultations dans la bibliothèque ou la salle de lecture attenante sont enregistrées sur une fiche et l'étudiant nous confie sa carte d'étudiant. Il arrive cependant que l'étudiant oublie sa carte d'étudiant et reparte avec la carte consultée. Mais comme nous notons les coordonnées des lecteurs nous arrivons en général à récupérer la carte subtilisée.
Aucune de nos cartes n'est en libre accès : il faut passer par un agent de la bibliothèque pour les obtenir. Ensuite 2 possibilités : soit la carte est empruntable et empruntée, donc inscrite sur le compte du lecteur dans le SIGB ; soit il s'agit d'une consultation sur place, avec fiche remplie par le lecteur (nom et identification de la carte) laissée à la banque de la cartothèque avec la carte de bibliothèque du lecteur. Les possibilités de vol sont donc très très minces
Ici les cartes ne sont pas en libre accès, le lecteur vient demander la carte, il inscrit son nom et celui de la carte sur une fiche, à la fin de chaque semaine on peut ainsi établir des statistiques sur les consultations sur place.
On note dans un fichier Excel tous les documents qui sortent, y compris pour les emprunts (réservés aux enseignants). Il y a effectivement quelques cartes qui disparaissent régulièrement pendant les TD mais c'est raisonnable.
Côté avec antivol, les cartes sont en libre accès. Un avantage du portique : s'il est équipé, il permet de faire des statistiques de fréquentation. Son inconvénient : il peut sonner pour rien.
Quelques extraits de réponse :
Depuis deux ans, nous testons le libre accès et le prêt sur un corpus de 100 cartes, uniquement des topo 1:25 000 pliées. Elles sont équipées d'antivol RFID avec l'étiquette sur la couverture au dos. Le portique antivol enregistre les passages ce qui permet de mesurer la fréquentation. Pas de vols constatés.
Toutes les cartes enregistrées dans notre catalogue informatique Koha sont avec une bande antivol, ce qui fait environ plus de 26 000 documents protégés. Les autres cartes n'étant pas encore cataloguées dans Koha ne sont pas équipées.
Ici les cartes sont toutes antivolées avec la RFID maintenant et avec des antivols classiques auparavant.
Voici la synthèse de la question posée aux membres de GéoRéseau : avez-vous des antivols sur vos cartes ?
Oui
Non
Pourquoi ?
Sur les 13 réponses : 9 établissements ne possèdent pas d'antivol sur leurs cartes et 3 en ont (dont 2 partiellement).
Côté sans antivol, les cartes sont sous surveillance (pas de libre accès, rayons sous l’œil des cartothécaires, consultation enregistrée, prêt enregistré). Il n'y a donc pas ou peu de vols (et les vols constatés restent dans des quantités acceptables) et il est inutile d'investir dans les languettes ou des puces RFID, la pose des antivols, un portique.
Quelques extraits de réponse :
Nous n'utilisons pas d'antivols pour les cartes car elles ne sont pas en libre accès et font de toute façon l'objet d'un prêt enregistré sur la carte du lecteur dans le SIGB pour leur consultation sur place (sur une table spécifique placée sous surveillance). Si le document n'était pas restitué au départ du lecteur, nous en aurions la trace informatique. Et tant mieux car je ne sais pas bien où nous pourrions fixer ces antivols !
Nous n'avons aucun antivol. La salle est sous nos yeux donc le risque que les lecteurs volent un document est minime. Nous enregistrons toutes les sorties : les prêts dans un fichier Excel, la consultation dans la salle de lecture attenante dans un cahier (avec échange des documents contre la carte d'étudiant).
Les consultations dans la bibliothèque ou la salle de lecture attenante sont enregistrées sur une fiche et l'étudiant nous confie sa carte d'étudiant. Il arrive cependant que l'étudiant oublie sa carte d'étudiant et reparte avec la carte consultée. Mais comme nous notons les coordonnées des lecteurs nous arrivons en général à récupérer la carte subtilisée.
Aucune de nos cartes n'est en libre accès : il faut passer par un agent de la bibliothèque pour les obtenir. Ensuite 2 possibilités : soit la carte est empruntable et empruntée, donc inscrite sur le compte du lecteur dans le SIGB ; soit il s'agit d'une consultation sur place, avec fiche remplie par le lecteur (nom et identification de la carte) laissée à la banque de la cartothèque avec la carte de bibliothèque du lecteur. Les possibilités de vol sont donc très très minces
Ici les cartes ne sont pas en libre accès, le lecteur vient demander la carte, il inscrit son nom et celui de la carte sur une fiche, à la fin de chaque semaine on peut ainsi établir des statistiques sur les consultations sur place.
On note dans un fichier Excel tous les documents qui sortent, y compris pour les emprunts (réservés aux enseignants). Il y a effectivement quelques cartes qui disparaissent régulièrement pendant les TD mais c'est raisonnable.
Côté avec antivol, les cartes sont en libre accès. Un avantage du portique : s'il est équipé, il permet de faire des statistiques de fréquentation. Son inconvénient : il peut sonner pour rien.
Quelques extraits de réponse :
Depuis deux ans, nous testons le libre accès et le prêt sur un corpus de 100 cartes, uniquement des topo 1:25 000 pliées. Elles sont équipées d'antivol RFID avec l'étiquette sur la couverture au dos. Le portique antivol enregistre les passages ce qui permet de mesurer la fréquentation. Pas de vols constatés.
Toutes les cartes enregistrées dans notre catalogue informatique Koha sont avec une bande antivol, ce qui fait environ plus de 26 000 documents protégés. Les autres cartes n'étant pas encore cataloguées dans Koha ne sont pas équipées.
Ici les cartes sont toutes antivolées avec la RFID maintenant et avec des antivols classiques auparavant.