Septembre 2011


Les Trésors des cartothèques

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Quelle est votre formation ?
Je suis titulaire d’une licence d’enseignement d’histoire-géographie et d’une maîtrise de géographie rurale (diplômes obtenus à Nanterre, je suis donc du sérail !). Mon ambition était de passer les concours et d’entrer dans l’enseignement car j’aime transmettre mes connaissances, mes convictions : je suis une « communicante ». [...]

Comment et pourquoi avoir choisi le métier de cartothécaire ?
Mon arrivée à la cartothèque de Nanterre résulte d’une opportunité que j’ai pu saisir.
J’avais repris une activité de « secrétaire scientifique » dans un labo de géographie à Paris X. Lorsque le poste de la bibliothèque-cartothèque s’est trouvé vacant (1993), les enseignants m’ont proposé la fonction en tant que contractuelle. J’ai pu passer un concours interne en 1995 et ai été titularisée en 1996, l’année de mes 50 ans. J’entame donc ma 19e année à la bibliothèque-cartothèque.

Je ne regrette absolument pas ce choix. Je me sens à ma place ici, utile et compétente auprès des étudiants grâce à ma formation initiale et à mon expérience d’enseignante : j’ai les réflexes et les connaissances nécessaires pour les guider au mieux dans leurs recherches, des plus basiques aux plus pointues.

Pouvez-vous nous présenter vos collections cartographiques ?

Rappelons que je gère une bibliothèque et une cartothèque. [...]
La cartothèque est un service unique sur le campus, puisque la BU, qui à l’ouverture de l’Université (1964-65) avait constitué un petit fonds pédagogique, a fait don de ce fonds à la bibliothèque de département, et ne s’est plus intéressée à ce volet de la documentation. Le fonds est vieilli et éclectique, constitué à 80 % de cartes françaises. [...]

Une politique documentaire est difficile à établir. Si on se préoccupe, comme les enseignants, de matériel pédagogique, il faut acheter des paquets importants pour les TD ou les partiels (20 environ). Si, comme moi, on se préoccupe de matériel documentaire, combler des lacunes, avoir une couverture plus complète, avoir une meilleure actualisation – c’est le « côté collectionneur » – on peut acheter 3 ou 4 exemplaires, quitte, si les cartes se révèlent intéressantes, à acheter d’autres exemplaires l’année suivante.

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Rencontre avec Claude Deneux, cartothèque de Paris Ouest

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Cartes à la carte

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La carte autro-hongroise d’Europe centrale au 1 :200 000 et ses avatars

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