La Cartothèque de l’Université du QuébecLire la suite... |
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Et pourtant ! La situation n’est pas dramatique. Il y a certes un important travail (constant) en matière d’information, de communication et de médiation, travail passionnant au demeurant. Mais depuis deux ans, l’informatisation des cartes topographiques, géologiques et de la végétation porte ses fruits. D’une part, les nouveaux enseignants, comme les plus chevronnés, utilisent le catalogue Archipel, et par voie de conséquence, ont pris conscience de la variété du fonds cartographique jusqu’à diversifier les exercices à partir des cartes disponibles.
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Parallèlement, dans le cadre des nouvelles maquettes, les enseignants qui interviennent en cartographie ont décidé de revenir aux fondamentaux et d’utiliser davantage les cartes imprimées. Ce qui incite les étudiants à venir plus souvent à la bibliothèque, à consulter puis à emprunter des cartes. L’année 2011-2012 a ainsi été faste en terme de circulation de cartes, devançant largement les prêts de périodiques et de monographies (j’attends les statistiques). Il m’arrive donc régulièrement de parler de la cartothèque-bibliothèque (et non l’inverse) pour plusieurs raisons : ce sont les documents les plus nombreux, les plus demandés et les plus empruntés, qui représentent, avec les revues spécialisées, la spécificité de la bibliothèque du Département de Géographie. A ce point spécifique qu’à l’occasion de l’harmonisation des règles de prêt pour l’ensemble des unités documentaires de l’UTM, mon collègue qui gère le centre de documentation et moi-même, avons demandé une exception pour les cartes, seuls documents que les enseignants peuvent emprunter en grand nombre.
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