Printemps 2014 |
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Les « petites mains » de Cartomundi |
C’est une « zonation » qui « repose sur la délimitation d’ensembles spatiaux justement révélés par la végétation telle que la carte la représente. L’intérêt de cette méthode est qu’elle définit et délimite des zones d’égales caractéristiques (même climat général, même type de sol), donc d’égales potentialités et donc susceptibles d’un même type de gestion du territoire. On en mesure l’avantage alors que les notions de paysage, d’aménagement régional, de pays, de terroir retiennent de plus en plus l’intérêt des citoyens, des élus, des décideurs » comme l’indiquent au paragraphe 40 Thierry Gauquelin, Marcel Delpoux, Guy Durrieu, André Fabre, Jacques Fontès, Pierrette Gouaux, Philippe Le Caro et Marie-Hélène O’Donoghue, dans leur article intitulé « Histoire du Service de la carte de la végétation de la France »,paru dans La revue pour l’histoire du CNRS (n°13 de 2005, mis en ligne le 03 novembre 2007), que nous avions consulté le 11 février 2014 pour évoquer tout cela dans la présente Géofeuille. Puisque c’est historique et daté, il faut bien prendre en compte qu’il s’agit d’une entreprise éditoriale assez longue (moins de cinq décennies) décrite comme « L’œuvre poursuivie en France par le CNRS depuis 1947, au SCV devenu Centre d’Ecologie des Ressources Renouvelables » en introduction de la brochure intitulée Notions générales d'utilisation des cartes de la végétation. |
Atlas des montagnes : rencontre avec les auteurs |
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A Toulouse, un Archipel de cartes de la végétation |
La cartothèque de l’UFR de Géographie et Aménagement de l’Université Lille 1 | |
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