Printemps 2012


A la découverte de la cartothèque de Caen

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      En juillet 2011, je réponds positif au mail de l’Université de Grenoble qui propose des dons de cartes au 1/20.000e. (J’en profite pour préciser aux personnes qui ne le sauraient pas qu’il est impératif de mettre un élastique quand vous glissez des cartes dans un tube car sinon il est très difficile, voire impossible de les sortir sans les abîmer).

      C’est en manipulant ces cartes reçues en don que j’ai fait une grosse conjonctivite. Elles étaient très poussiéreuses et avaient une forte odeur de vieux. D'ailleurs, si c'était possible, il serait souhaitable que les cartes proposées en don soient au préalable dépoussiérées un minimum.

      Suite à cette conjonctivite, j’ai pris rendez-vous avec la médecine préventive afin de trouver une solution et des aides pour venir à bout de cette poussière. Par le passé, la médecine préventive m’avait aidée à faire mettre un point d’eau dans la cartothèque.
    J’ai ensuite fait appel à Géoréseau, notre réseau de cartothèques pour demander des méthodes afin  d'enrayer cette poussière.

Témoignages d'autres cartothèques :

* La solution la plus radicale : le dépoussiérage et le déménagement :

Pour la bibliothèque du CADIST (Paris 6), nous avons bénéficié d’un dépoussiérage dans les grandes largeurs dans le cadre du (monumental) chantier de désamiantage de Paris 6. Ce dépoussiérage a été effectué par une entreprise extérieure spécialisée juste avant notre déménagement. Camel Boumedjmadjen


A la cartothèque de Paris 8, nous avons abandonné sans regrets 30 années de poussière ( photo) pour des locaux neufs, en 2005 ( photo). Nathalie Rigaud

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Rencontre avec Bernadette Joseph

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Un ennemi insidieux : la poussière

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Pearltrees

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