Automne 2014


Développement d’un module de géoréférencement dans PMB

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Qu'il s'agisse d'un effet de mode ou de l'élément majeur d'une révolution du web, la position dominante de Facebook est un fait.
En 2011, 46 % des internautes français utilisent ce réseau social. La même année, 52 % des inscrits disent avoir entre 18 et 34 ans, ce qui peut correspondre à une tranche d'âge « universitaire ». On dénombre 1,23 milliard de comptes actifs dans le monde au 31 décembre 2013.

« Faire et défaire, c'est toujours travailler »

Il est possible (probable?) que ce réseau disparaisse dans les années à venir, une fois devenu ringard, une fois que sa cotation en bourse se sera écroulée ou bien une fois qu'un concurrent novateur aura proposé un produit aux fonctionnalités plus étendues.
Bref, se pose, pour les bibliothèques, un premier problème : la pérennité du service. Les bases de données en ligne comme les abonnements numériques posent cette même question sans qu'on s'en émeuve outre mesure.

La question est de faire vivre l'institution au présent. C'est à dire avec les outils du moment et sans se préoccuper de ce que l'on fera à l'avenir, dès lors que nous est ôtée la maîtrise complète du support de l'information fournie aux usagers.
Pour cette raison, il convient de ne pas sur-investir un tel outil. Ainsi donc, la crainte qu'administrer une page FaceBook soit un exercice chronophage et à laisser aux seuls "community manager" n'est pas fondée, particulièrement dans le cas de petites structures comme les BUFR pour lesquelles, contrairement aux BU et aux institutions de plus grande taille, la communication ne dépend pas d'un plan global géré par un service spécifique.

« Mets du miel sur ton piège »

La question n'est pas de savoir s'il est légitime ou indigne que les bibliothèques soient présentes sur Facebook. La question est bien plutôt : qu'avons-nous à apporter ?

Par cette approche, on comprendra que les informations pratico-pratiques (horaires, fermetures exceptionnelles, plan d'accès), si elles en sont le noyau,  ne sauraient constituer la matière principale de nos pages. Déjà présentes sur les sites web institutionnels, ils seront uniquement répétés sur notre page Facebook, afin de toucher les publics quels que soient les outils utilisés.

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