Du portefeuille au portail : le chantier de la numérisation des cartes au MuséumLire la suite... |
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Le contexte Cela faisait plusieurs années que la numérisation des cartes libres de droit à la bibliothèque du Muséum était dans les esprits, mais il a fallu attendre que le catalogage de ces collections cartographiques soit bien avancé pour pouvoir se lancer dans l’aventure. Lorsqu’un volume suffisant de notices a enfin été atteint dans le catalogue, il n’y a plus eu qu’à se glisser dans le cadre déjà bien défini de la numérisation au Muséum, pratiquée pour les autres documents depuis 2004. Cependant, les cartes n’ayant pas encore été prévues dans le marché de numérisation avec notre prestataire extérieur, il a été décidé de les faire reproduire sans attendre par notre atelier de photographie en interne, en commençant par les plus petits formats qui sont les plus faciles à numériser avec du matériel classique. Les formats de plus grande taille, nécessitant des scanners spécialisés, seront quant à eux probablement pris en charge par un prestataire extérieur dans le prochain marché.
La restauration des cartes
Mais avant de se faire tirer le portrait, un petit gommage s’imposait. En effet, les collections cartographiques avaient souffert au fil des années (déchirures dues aux manipulations, au matériel de conservation parfois inadapté avant leur arrivée à la bibliothèque, ou dégradations et jaunissement naturels du papier), si bien qu’elles n’étaient pas toujours très présentables pour une séance chez le photographe. Il a donc été décidé que ce chantier de numérisation serait également l’occasion pour chaque document (à numériser ou non) de passer entre les doigts de fées de nos collègues de l’atelier de restauration.
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Dauphiné et comté de Nice, 1:86 400, 1758, 9 feuilles Lire la suite... |