Depuis quelques semaines, des questionnaires sont à disposition de notre public. Comme indiqué dans cet article de juin 2014, l'enquête a pour objectif d'accorder notre vision de la cartothèque avec celle de son public. La période choisie pour la lancer n'était pas la plus propice puisque enseignants et étudiants achevaient leurs cours mais c'était un bon test et nous renouvellerons cette enquête à divers moments de l'année.

Le panel de réponses obtenues est -statistiquement- représentatif de nos publics. Nous avons obtenu 16 questionnaires exploitables, répartis comme suit :

- 9 étudiants de Licence - soit 49,9 % des sondés
- 3 étudiants de Master – soit 11,1 %
- 2 doctorants assidus – soit  16,6 %
- 4 enseignants-chercheurs – soit 22,2 %

Les questions posées concernent la nature du service, sa qualité, les moyens et les supports documentaires mis à disposition et enfin les représentations de nos publics quant à ce que nous sommes et leurs suggestions quant à ce que nous pourrions être. Certaines questions appellent des réponses fermées (oui / non, satisfait / assez satisfait / peu satisfait / insatisfait), d'autres sont ouvertes, en particulier autour des suggestions de changement.

Les taux de satisfaction sont élevés. A la première question concernant la cartothèque dans son ensemble, 88,8 % des lecteurs sondés se déclarent "satisfaits", les 12,2% restants se déclarant "assez satisfaits". Dans le détail, des catégories de lecteurs se dessinent.
Si la majorité, par exemple, ne souhaite pas proposer de suggestions d'achat (61,1% des sondés), les 4 enseignants-chercheurs et les deux doctorants en manifestent le souhait.

De même au niveau de l'exigence apportée au contenu de la collection : plus le lecteur est avancé dans ses études, plus son regard sur les contenus proposés est aigu. Ils sont 11,1% à s'en déclarer peu satisfaits, 27,7% assez satisfaits et 61,2% à s'en déclarer satisfaits. Remarquons que parmi les sondés, certains regrettent que l'existence de la Cartothèque -sise sur les lieux des cours- ne les dispense pas intégralement de se rendre à la BU, montrant par là que le fonctionnement en réseau documentaire est parfois un idéal... de professionnels !

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