Cette cartographie dynamique vient compléter pour l’époque moderne et contemporaine l’inventaire exhaustif des représentations du territoire mené pour les époques précédentes (deuxième volet).

Les documents utilisés par la cartographie web sont décrits sur la page d'accueil de l'atlas.

A quel public cet atlas est-il destiné ? Quels sont les retours des usagers ?
L’Atlas s’adresse autant au grand public qu’à un public plus expert. Depuis la fin de l’année 2017, nous multiplions nos actions de communication à l’échelle locale pour toucher de manière privilégiée un public limougeaud et limousin (politiques, association, sociétés savantes, acteurs du patrimoine et du tourisme, collectivités territoriales, etc.). Dans la pratique, nous constatons que l’Atlas touche particulièrement les passionnés et membres de sociétés savantes sur l’histoire du Limousin, les chercheurs et les étudiants de l’Université de Limoges (en histoire, géographie, patrimoine). Nous travaillons en étroite collaboration avec ces publics afin qu’ils nous aident à enrichir l’Atlas. L’Atlas devient ainsi une plateforme de valorisation et d’échange des travaux de tous les acteurs – universitaires ou non – impliqués dans l’histoire du Limousin.

Quelles ont été les difficultés rencontrées ?
L'Atlas implique un travail en équipe car il faut savoir combiner et faire dialoguer les connaissances historiques spécialisées, les compétences numériques et techniques et les savoir-faire en cartographie, datavisualisation et modélisation d’informations spatio-temporelles.
Une autre difficulté concerne la pérennité de l’Atlas. Concernant les informations publiées, la difficulté est de choisir les formats de données et les standards numériques adéquats en tenant compte du contexte interdisciplinaire de l’atlas : un historien n’aura pas les mêmes besoins qu’un archiviste, qu’un bibliothécaire ou qu’un géographe.

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