Pourquoi avez-vous choisi la géographie ?
Extraits de témoignages tirés des interviews d'anciens étudiants.
J’étais passionné de géographie, de voyages, de tout ce qui relève des sciences humaines et surtout de la géographie urbaine. Ce qui m’intéressait, c’était la forme urbaine : comprendre la structure de la ville, sa constitution.
Tout simplement car la géographie mêle et rassemble : dessin et image, dimension internationale, environnement et territoires et permet d’avoir une approche pluridisciplinaire et transversale pour aborder une situation, un contexte ou une problématique.
Un agent administratif de l'Ecole du Louvre m'a conseillé ce master à Paris 8.
Je crois que quand on est intéressé par un sujet, c'est qu'il y a eu un déclic. Me concernant, ce déclic a eu lieu en première, avec une prof passionnée par l'histoire et la géographie. A partir de la première, c'était clair, je ferai de la géographie, d'autant plus que j'étais intéressé par les questions d'environnement.
J'étais auparavant en poste dans les Ressources Humaines mais j'ai toujours eu une passion pour la Géographie et l'Environnement. Pour enrichir mon expérience, j'ai souhaité reprendre des études plus en rapport avec mes préoccupations.
J’ai choisi la géographie par curiosité : je souhaitais comprendre le territoire dans lequel je vis et j’ai toujours aimé la géographie au collège et au lycée
Extraits de témoignages tirés des interviews d'anciens étudiants.
J’étais passionné de géographie, de voyages, de tout ce qui relève des sciences humaines et surtout de la géographie urbaine. Ce qui m’intéressait, c’était la forme urbaine : comprendre la structure de la ville, sa constitution.
Tout simplement car la géographie mêle et rassemble : dessin et image, dimension internationale, environnement et territoires et permet d’avoir une approche pluridisciplinaire et transversale pour aborder une situation, un contexte ou une problématique.
Un agent administratif de l'Ecole du Louvre m'a conseillé ce master à Paris 8.
Je crois que quand on est intéressé par un sujet, c'est qu'il y a eu un déclic. Me concernant, ce déclic a eu lieu en première, avec une prof passionnée par l'histoire et la géographie. A partir de la première, c'était clair, je ferai de la géographie, d'autant plus que j'étais intéressé par les questions d'environnement.
J'étais auparavant en poste dans les Ressources Humaines mais j'ai toujours eu une passion pour la Géographie et l'Environnement. Pour enrichir mon expérience, j'ai souhaité reprendre des études plus en rapport avec mes préoccupations.
J’ai choisi la géographie par curiosité : je souhaitais comprendre le territoire dans lequel je vis et j’ai toujours aimé la géographie au collège et au lycée
C’est par défaut que je suis arrivé en géographie, chose que je ne regrette cependant pas.
A l’origine je portais un intérêt pour la géopolitique, en particulier tout ce qui pouvait toucher aux conflits liés aux ressources en eau.
Sortant d'un Bac Eco, j'ai d'abord été inscrit à Paris 8 en économie. Nous avions la possibilité de prendre une matière de géographie en parallèle de notre cursus, ce que j'ai fait. Il s'agissait d'un cours intitulé : Qu'est-ce que la géographie ?, donné par Yves Lacoste. J'ai découvert une matière que je connaissais mal et j'ai été surpris de constater que par ce biais, l'on pouvait trouver des débouchés professionnels permettant d'intervenir sur l'urbain. Intéressé par l'architecture depuis longtemps, j'ai trouvé là ce que je cherchais. J'ai donc basculé au second semestre en géographie.
Un peu par hasard mais c’était quand même un choix : j’ai eu la possibilité après le bac d’une toute autre orientation (classe prépa en Arts appliqués). Après ça, je me suis dit que je ne voulais pas envisager mon parcours post bac sur ce rythme-là. J’ai voulu m’ouvrir plus de portes. C’est en discutant avec d’anciens camarades de lycée que l’on m’a transmis l’envie d’étudier la géographie.
J’ai commencé mes études universitaires à Nanterre par une licence d’histoire, complétée par une mineure en Géo. J’ai fini cette licence et j’ai choisi de continuer avec la géographie parce que j’en avais assez des vieux grimoires et envie de faire du terrain.
J'avais le bac et un emploi dans des entreprises de transport qui ne me donnait pas vraiment satisfaction dans les années 1980. J'ai décidé d’entamer des études supérieures et hésité entre géographie et sociologie. Après avoir tenté la géographie un an en cours du soir pour « goûter », j'ai été conquis.
A l’origine je portais un intérêt pour la géopolitique, en particulier tout ce qui pouvait toucher aux conflits liés aux ressources en eau.
Sortant d'un Bac Eco, j'ai d'abord été inscrit à Paris 8 en économie. Nous avions la possibilité de prendre une matière de géographie en parallèle de notre cursus, ce que j'ai fait. Il s'agissait d'un cours intitulé : Qu'est-ce que la géographie ?, donné par Yves Lacoste. J'ai découvert une matière que je connaissais mal et j'ai été surpris de constater que par ce biais, l'on pouvait trouver des débouchés professionnels permettant d'intervenir sur l'urbain. Intéressé par l'architecture depuis longtemps, j'ai trouvé là ce que je cherchais. J'ai donc basculé au second semestre en géographie.
Un peu par hasard mais c’était quand même un choix : j’ai eu la possibilité après le bac d’une toute autre orientation (classe prépa en Arts appliqués). Après ça, je me suis dit que je ne voulais pas envisager mon parcours post bac sur ce rythme-là. J’ai voulu m’ouvrir plus de portes. C’est en discutant avec d’anciens camarades de lycée que l’on m’a transmis l’envie d’étudier la géographie.
J’ai commencé mes études universitaires à Nanterre par une licence d’histoire, complétée par une mineure en Géo. J’ai fini cette licence et j’ai choisi de continuer avec la géographie parce que j’en avais assez des vieux grimoires et envie de faire du terrain.
J'avais le bac et un emploi dans des entreprises de transport qui ne me donnait pas vraiment satisfaction dans les années 1980. J'ai décidé d’entamer des études supérieures et hésité entre géographie et sociologie. Après avoir tenté la géographie un an en cours du soir pour « goûter », j'ai été conquis.