Info lecteur Quelle est l’actualité de la Cartothèque ces jours-ci ? |
Dans quelles bibliothèques ou cartothèques vous êtes-vous déjà rendu pour consulter des ouvrages, dans le cadre de votre travail ? Outre la Cartothèque du département de géographie, je vais fréquemment dans les bibliothèques et cartothèques de l’Institut de géographie et de Jussieu (géologie enseignement et géologie recherche) tant pour mes travaux pédagogiques que mes recherches. J’avoue que je ne fréquente pas encore assidument la BU de Paris 8, mais cela fait partie de ce que j’ai l’intention de faire prochainement. La bibliothèque interuniversitaire de la Sorbonne (BIUS), celle de l’Institut national d’histoire de l’art (INHA), ainsi que les bibliothèques du Muséum national d’histoire naturelle, de l’Institut Michelet, de la Maison d’archéologie et d’ethnologie (Nanterre-Paris X), et de l’école normale supérieure (ENS) Archéologie font aussi partie des établissements que je fréquente. Je n’ai jamais eu l’occasion de pratiquer le prêt entre bibliothèque, même si cela me tente. A peu de chose près, je trouve toujours ce dont j’ai besoin et cela m’évite d’acheter une multitude d’ouvrages.
Quel usage faites-vous de la Cartothèque ? Je pense que je n’ai utilisé que faiblement son potentiel jusqu’à présent. Cette année, j’y ai emprunté des cartes de la végétation pour mes cours, et des cartes topographiques et géologiques pour une sortie de terrain. J’y ai aussi trouvé un certain nombre de mémoires de M1 qui m’ont été utiles pour enseigner de la méthodologie à mes étudiants. J’ai aussi repéré quelques livres de géographie physique et sur l’environnement.
Quelle serait selon vous la cartothèque idéale ? J’y verrai, en doublon, tout ce qui est sur papier en support numérique… et qui dit numérique, dit géoréférencé, un Google Earth multithématique en quelque sorte, avec cartes géologiques, topographiques, pédologiques… Il n’y aurait pas de différence entre la richesse du fonds français et celle des autres pays. Les données seraient téléchargeables pour les travaux des étudiants, et gratuites car financées par le service public. La Cartothèque proposerait des formations pour tous ces outils et pour la recherche documentaire en général. Un accès distant et des horaires d’ouverture larges donneraient aux lecteurs davantage de possibilités de consultation.
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De la grande à la petite échelle
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