Journal de la Carto |
Mars 2011 |
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Info lecteur Bilan 2010 qui ouvre sur la vertigineuse Question de Calais |
Accueil - Suite de Info carto L'enseignant a-t-il besoin de montrer différents types de littoraux, il préfèrera télécharger quelques photos et cartes sur internet, les assembler et les projeter en support de son cours. A la Cartothèque, nous avons constaté que les lecteurs, enseignants pour leurs cours ou étudiants pour leurs exposés, emprutent des cartes murales quand ils ne les trouvent pas sur internet ou quand ils ne savent pas, n'osent pas, ne veulent pas utiliser le vidéo projecteur. Le wifi, désormais disponible sur le campus, sonnera sans doute le glas de la carte murale. Car résumons : les cartes murales actuelles sont souvent de qualité médiocre, assez rapidement obsolètes, onéreuses, et d'un usage très particulier ; il s'agit de montrer de grands ensembles géographiques sans réelle possibilité de détailler, de zoomer, d'ajouter d'autres informations visuelles (sauf à accrocher une batterie de cartes murales sur le tableau). Le vidéo-projecteur pallie ces inconvénients : l'utilisateur peut afficher des données récentes, construire ses propres cartes thématiques, passer de l'une à l'autre, accéder à un site internet via le wifi, envoyer un extrait de documentaire, un document audio et varier les supports, sans non plus que toute cette machinerie ne remplace le contenu intellectuel du cours. Plus exactement, c'est le support de cours numérisé qui supplantera la carte murale car le vidéo-projecteur n'est qu'un appareil voué à l'obsolescence : il sera remisé avec rétroprojecteurs et vieilles cartes cartonnées quand enseignant et étudiants auront tous leur écran (portable ou tablette) et l'accès par le réseau au même contenu de cours. << 1 - 2 |
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