Automne 2015


Catalogage de cartes anciennes d'Egypte

Lire la suite...


Retour à la Une

Jeudi 24 septembre, nous nous sommes retrouvés une petite quinzaine pour suivre la formation, ô combien nécessaire, conduite par Jean-Luc Arnaud dans une salle agréable de l'IGN, à Saint-Mandé.
Petit déjeuner de viennoiseries et boissons chaudes pour nous mettre en appétit et nous entrons dans le vif du sujet.

 

Savez-vous que nous sommes des pionniers ? En replaçant cette formation et tout le travail sur Cartomundi dans un contexte historique et technologique, Jean-Luc Arnaud nous installe d'emblée dans une perspective novatrice, flatteuse donc pour d'humbles tâcherons des cartothèques qui se découvrent des âmes d'aventuriers. Certes le temps des Vasco de Gama et Magellan est révolu mais à la mesure de notre époque, il est encore possible de révolutionner des pratiques de travail à défaut des grandes routes maritimes.

Pionners en quoi ? vous interrogez-vous, dubitatifs. Reprenons. L'informatisation des catalogues dans les années 80 s'est faite sur la numérisation du texte. Alors on ne savait pas numériser l'image. 80% des cartes (les feuilles) appartiennent à des séries (Carte de la végétation de la France / Carte topographique de la France au 1:50 000 etc). Les bibliothécaires qui possédaient des feuilles de série dans leurs fonds coloriaient des Tableaux d'assemblage (TA) manuels pour s'y retrouver et les tenir à jour.

Arrive la rétroconversion des catalogues papier. Que faire de ces TA impossibles à numériser? On les a enfouis dans des tiroirs, vaguement mis à jour pour certains, oubliés pour la plupart. Le catalogage s'est informatisé et collectivisé mais JL Arnaud relève que les feuilles sont trop similaires pour en passer par un TA, que l'ensemble n'est pas assez complexe pour nécessiter une notice d'assemblage et enfin, qu'il existe peu de champs spécifiques à la série cartographique. Ainsi, la Library of Congress n'indique pas le nombre de feuilles de la série, or entre 6 et 24 000, la différence est notable.

Résultat : la totalité des feuilles cataloguées ne suffit pas à décrire la série qui est un objet particulier non traité dans le catalogage des cartes.

1 - 2>>


Un exercice pratique sur Cartomundi : la série Végétation au 1:200 000

Lire la suite...

 


Formation des cartothécaires à la collecte des données de géoréférencement

Lire la suite...


Les cartothèques numériques auxquelles on ne pense pas toujours pour renseigner le lecteur

Lire la suite...

Qui - Quoi - Contacts - Archives