Automne 2015 |
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Catalogage de cartes anciennes d'Egypte |
Jeudi 24 septembre, nous nous sommes retrouvés une petite quinzaine pour suivre la formation, ô combien nécessaire, conduite par Jean-Luc Arnaud dans une salle agréable de l'IGN, à Saint-Mandé. Savez-vous que nous sommes des pionniers ? En replaçant cette formation et tout le travail sur Cartomundi dans un contexte historique et technologique, Jean-Luc Arnaud nous installe d'emblée dans une perspective novatrice, flatteuse donc pour d'humbles tâcherons des cartothèques qui se découvrent des âmes d'aventuriers. Certes le temps des Vasco de Gama et Magellan est révolu mais à la mesure de notre époque, il est encore possible de révolutionner des pratiques de travail à défaut des grandes routes maritimes. Arrive la rétroconversion des catalogues papier. Que faire de ces TA impossibles à numériser? On les a enfouis dans des tiroirs, vaguement mis à jour pour certains, oubliés pour la plupart. Le catalogage s'est informatisé et collectivisé mais JL Arnaud relève que les feuilles sont trop similaires pour en passer par un TA, que l'ensemble n'est pas assez complexe pour nécessiter une notice d'assemblage et enfin, qu'il existe peu de champs spécifiques à la série cartographique. Ainsi, la Library of Congress n'indique pas le nombre de feuilles de la série, or entre 6 et 24 000, la différence est notable. |
Un exercice pratique sur Cartomundi : la série Végétation au 1:200 000 |
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Formation des cartothécaires à la collecte des données de géoréférencement |
Les cartothèques numériques auxquelles on ne pense pas toujours pour renseigner le lecteur | |
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