Info lecteur Quelles activités pour Nathalie Rigaud, la responsable de la cartothèque ? |
Dans quelles bibliothèques ou cartothèques vous êtes-vous déjà rendue pour consulter des ouvrages, dans le cadre de votre thèse ?
Mis à part la BU de Paris 8 et la Cartothèque, je vais à l’Institut de géographie (Paris IV). La bibliothèque municipale de Bobigny possède des abonnements attractifs à des revues scientifiques dans les domaines de la sociologie, de l’économie, de la philosophie… Je me réfugie parfois pour travailler à la médiathèque du Bourget qui a des horaires d’ouverture intéressants, y compris le dimanche. Enfin, je me rends de temps en temps à "Via le monde", une structure publique créée par le Conseil général de la Seine-Saint-Denis. On y trouve des revues de presse faites par des documentalistes sur les sciences de l’environnement.
Quel usage faites-vous de la cartothèque ? Je fréquente très souvent la Cartothèque, ne serait-ce que pour me tenir au courant de leurs nouveautés. J’y emprunte des cartes pour ma thèse et le monitorat auprès des L2. J’ai aussi recours aux fonds de carte qui y sont mis à disposition, pour donner des exercices aux étudiants.
Quelle serait selon vous la cartothèque idéale ?
Il est vrai que Paris 8 dispose d’une belle cartothèque, mais j’y verrais tout de même quelques améliorations, comme le fait de présenter de grandes tables pour étaler les cartes ou d’avoir un seul espace (au lieu de plusieurs salles) équipé de plus d’ordinateurs. A ce propos, à l’heure du numérique, il serait bien d’offrir la possibilité de consulter des cartes du monde entier sur informatique. On pourrait aussi imaginer que des logiciels d’exploitation de données cartographiques soient mis à disposition sur place (SIG, Google Map, Google Earth…). Enfin, j’imagine que des atlas interactifs pourraient être très utiles : par exemple, pour obtenir en un clic la densité de population de n’importe quel lieu.
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La carte au 1:25 000 d'Orcières-Merlette illustrée
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