Résumons la situation
Obligation de passer par un fournisseur agréé
Un tarif élevé
Des documentaires non disponibles chez ce fournisseur
Une acquisition hors-marché complexe
La même complexité pour une acquisition directe via une association
Une diffusion restreinte et parfois inexistante de documentaires réalisés par des enseignants, des étudiants, des chercheurs
Des DVD à la demande moins soignés que leurs homologues du commerce sans véritable différence de prix
Une tendance à la dématérialisation du film qui pousse à des formules d'abonnement onéreuses sans résoudre l'accès à un ou des titres particuliers réclamés par les lecteurs
L'accès indispensable au haut débit pendant la projection si elle se fait en direct pendant le cours
Un stockage de fichiers pas évident et une obligation de transfert lors de la mise à jour du matériel
Des organismes publics qui vivent de leurs rentes.
Quelle solution par la Bibliothèque universitaire ?
La BU possède une riche collection audiovisuelle. En plus des DVD qu'elle présente par thème dans ses salles et dans l'espace audiovisuel, elle s'est abonnée à une offre de VOD depuis fin 2016.
En janvier 2017, 350 documents sont consultables hors de l'université, sur un ordinateur ou sur un mobile, avec une limite de 5 heures par semaine. Il suffit d'ouvrir un compte. Le site est facile d'utilisation et propose de nombreux services dont une liste mensuelle des nouveautés.
Obligation de passer par un fournisseur agréé
Un tarif élevé
Des documentaires non disponibles chez ce fournisseur
Une acquisition hors-marché complexe
La même complexité pour une acquisition directe via une association
Une diffusion restreinte et parfois inexistante de documentaires réalisés par des enseignants, des étudiants, des chercheurs
Des DVD à la demande moins soignés que leurs homologues du commerce sans véritable différence de prix
Une tendance à la dématérialisation du film qui pousse à des formules d'abonnement onéreuses sans résoudre l'accès à un ou des titres particuliers réclamés par les lecteurs
L'accès indispensable au haut débit pendant la projection si elle se fait en direct pendant le cours
Un stockage de fichiers pas évident et une obligation de transfert lors de la mise à jour du matériel
Des organismes publics qui vivent de leurs rentes.
Quelle solution par la Bibliothèque universitaire ?
La BU possède une riche collection audiovisuelle. En plus des DVD qu'elle présente par thème dans ses salles et dans l'espace audiovisuel, elle s'est abonnée à une offre de VOD depuis fin 2016.
En janvier 2017, 350 documents sont consultables hors de l'université, sur un ordinateur ou sur un mobile, avec une limite de 5 heures par semaine. Il suffit d'ouvrir un compte. Le site est facile d'utilisation et propose de nombreux services dont une liste mensuelle des nouveautés.
Pour en savoir plus, nous avons interrogé Emmanuelle Sruh, la responsable du service audiovisuel.
D'où viennent les films et documentaires disponibles sur VOD Paris 8 ? Les films proviennent du catalogue de notre fournisseur, Adavision, qui a été choisi par une procédure de marché public. Ce catalogue regroupe actuellement 12 500 titres, parmi lesquels nous faisons un choix adapté au public que nous visons : les étudiants, enseignants et personnels de Paris 8. Adavision est une filiale de l'ADAV.
Pourquoi ne pas avoir choisi un abonnement VOD chez Arte ou d'autres ? L'offre de Médiathèque numérique (Arte) ne correspondait pas à notre principal critère : pouvoir choisir nous-mêmes les titres et constituer une collection, au sens où on l'entend en bibliothèque, et non un bouquet de films destiné à un très large public.
Un étudiant, un enseignant peut-il proposer ses propres documentaires pour alimenter ce fonds ? Certains films réalisés par des enseignants de Paris 8 figurent au catalogue. Nous allons d'ici peu intégrer les films d'étudiants en cinéma que nous conservons à la BU, pour lesquels les étudiants ont donné leur accord. Pour l'instant nous n'avons pas envisagé de prendre en compte les films des autres filières car cela pose des problèmes de stockage, de coût et d'éditorialisation que ce service ne peut pas prendre en charge actuellement.