Nos livres - Livres des éditions l'Echappée
Collection Pour en finir avec
Critique de la servitude volontaire, de l’aliénation quotidienne, de l’oppression et des inégalités, la collection Pour en finir avec développe des analyses radicales.
Collection Négatif
Négatif ! Comme on dit « non ! je ne marche pas ! » Refus de croire et d’obéir.
Négatif. Parce qu’on ne peut qu’être contre tout, parce qu’il n’y a rien de bien dans une société négative dès son principe.
Négatif. Comme l’envers, la réalité et la révélation des apparences pseudo-positives.
Nous tâcherons d’être purement négatifs et d’exprimer ici les raisons de notre refus total.
Collection Frankenstein
Cette collection, constituée d’ouvrages collectifs, retisse des liens avec une tradition ouvrière et rurale de résistance à la modernisation capitaliste et participe à la refondation d’une critique radicale de l’idéologie du progrès et de tout discours prônant la croissance, le productivisme et le développement industriel et technologique.
Pourquoi ces livres sont-ils dans une cartothèque ? Parce que la géographie ne se vit pas dans une éprouvette de laboratoire.
On achève bien les éleveurs : résistances à l'industrialisation de l'élevage / Vidal (A.) coord. , Trouillard (G.), 2017 .- LN18
Ce que nous nommons encore élevage se trouve aujourd’hui pris entre deux feux. D’un côté, le souci légitime de l’impact écologique et sanitaire de la production industrielle de viande et de produits d’origine animale rejoint le refus de maltraiter – voire tuer – les animaux. De l’autre côté, les éleveurs sont dépossédés de leur métier par des procédures toujours plus rigides et intrusives : puçage RFID des ovins et caprins, chantage aux primes agricoles, bureaucratisation croissante, reproduction artificielle.
Du narcissisme de l'art contemporain / Troyas (A.), 2017 .- LY36
Aujourd’hui, en art, tout est possible. Ce que fait l’art dit contemporain en qualifiant tout et n’importe quoi d’artistique – une tâche, une boîte de conserve, un corps sanguinolent, des excréments – est une négation radicale des codes et des règles, de la tradition et des critères de jugement qui, pourtant, imprègnent et structurent encore la plupart des consciences.
La siliconisation du monde / Sadin (E.), 2016 .- LY34
La Silicon Valley ne renvoie plus seulement à un territoire, c’est aussi et avant tout un esprit, en passe de coloniser le monde. Une colonisation d’un nouveau genre, portée par de nombreux missionnaires (industriels, universités, think tanks…), et par une classe politique qui encourage l’édification de valleys sur les cinq continents, sous la forme d’écosystèmes numériques et d’incubateurs de start-up.
Après avoir retracé un historique de la Silicon Valley, ce livre, à la langue précise et élégante, montre comment un capitalisme d’un nouveau type est en train de s’instituer, un technolibéralisme qui, via les objets connectés et l’intelligence artificielle, entend tirer profit du moindre de nos gestes, inaugurant l’ère d’une « industrie de la vie ».
Le sacrifice des paysans / Bitoun (P.), 2016 .- LY35
Pourquoi les sociétés modernes ont-elles décidé de sacrifier les paysans ? Qui est responsable de ce processus qui semble irréversible ? Pour tenter de répondre à ces questions fondamentales, ce livre montre comment, depuis des décennies, en France comme ailleurs, le productivisme s’est étendu à l’ensemble des activités humaines. Avec pour conséquences : déracinement et marchandisation, exploitation du travail et des ressources naturelles, artificialisation et numérisation de la vie. L’époque est aujourd’hui aux fermes-usines et aux usines que l’on ferme ou délocalise, tandis que dominent, partout, finance et technoscience.
Collection Pour en finir avec
Critique de la servitude volontaire, de l’aliénation quotidienne, de l’oppression et des inégalités, la collection Pour en finir avec développe des analyses radicales.
Collection Négatif
Négatif ! Comme on dit « non ! je ne marche pas ! » Refus de croire et d’obéir.
Négatif. Parce qu’on ne peut qu’être contre tout, parce qu’il n’y a rien de bien dans une société négative dès son principe.
Négatif. Comme l’envers, la réalité et la révélation des apparences pseudo-positives.
Nous tâcherons d’être purement négatifs et d’exprimer ici les raisons de notre refus total.
Collection Frankenstein
Cette collection, constituée d’ouvrages collectifs, retisse des liens avec une tradition ouvrière et rurale de résistance à la modernisation capitaliste et participe à la refondation d’une critique radicale de l’idéologie du progrès et de tout discours prônant la croissance, le productivisme et le développement industriel et technologique.
Pourquoi ces livres sont-ils dans une cartothèque ? Parce que la géographie ne se vit pas dans une éprouvette de laboratoire.
On achève bien les éleveurs : résistances à l'industrialisation de l'élevage / Vidal (A.) coord. , Trouillard (G.), 2017 .- LN18
Ce que nous nommons encore élevage se trouve aujourd’hui pris entre deux feux. D’un côté, le souci légitime de l’impact écologique et sanitaire de la production industrielle de viande et de produits d’origine animale rejoint le refus de maltraiter – voire tuer – les animaux. De l’autre côté, les éleveurs sont dépossédés de leur métier par des procédures toujours plus rigides et intrusives : puçage RFID des ovins et caprins, chantage aux primes agricoles, bureaucratisation croissante, reproduction artificielle.
Du narcissisme de l'art contemporain / Troyas (A.), 2017 .- LY36
Aujourd’hui, en art, tout est possible. Ce que fait l’art dit contemporain en qualifiant tout et n’importe quoi d’artistique – une tâche, une boîte de conserve, un corps sanguinolent, des excréments – est une négation radicale des codes et des règles, de la tradition et des critères de jugement qui, pourtant, imprègnent et structurent encore la plupart des consciences.
La siliconisation du monde / Sadin (E.), 2016 .- LY34
La Silicon Valley ne renvoie plus seulement à un territoire, c’est aussi et avant tout un esprit, en passe de coloniser le monde. Une colonisation d’un nouveau genre, portée par de nombreux missionnaires (industriels, universités, think tanks…), et par une classe politique qui encourage l’édification de valleys sur les cinq continents, sous la forme d’écosystèmes numériques et d’incubateurs de start-up.
Après avoir retracé un historique de la Silicon Valley, ce livre, à la langue précise et élégante, montre comment un capitalisme d’un nouveau type est en train de s’instituer, un technolibéralisme qui, via les objets connectés et l’intelligence artificielle, entend tirer profit du moindre de nos gestes, inaugurant l’ère d’une « industrie de la vie ».
Le sacrifice des paysans / Bitoun (P.), 2016 .- LY35
Pourquoi les sociétés modernes ont-elles décidé de sacrifier les paysans ? Qui est responsable de ce processus qui semble irréversible ? Pour tenter de répondre à ces questions fondamentales, ce livre montre comment, depuis des décennies, en France comme ailleurs, le productivisme s’est étendu à l’ensemble des activités humaines. Avec pour conséquences : déracinement et marchandisation, exploitation du travail et des ressources naturelles, artificialisation et numérisation de la vie. L’époque est aujourd’hui aux fermes-usines et aux usines que l’on ferme ou délocalise, tandis que dominent, partout, finance et technoscience.