Audiovisuel : les films
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Des parcs contre nature. L'homme & la faune d'Afrique / Dauphin (J.M.). Kifaru, 2009
L’homme et la faune d’Afrique : des Parcs contre Nature est un documentaire sur les parcs et des réserves d’Afrique. Il montre les difficultés et le profit de cette politique de conservation à travers quelques exemples.
Dans les années 70 près de 250000 km2 d’espace protégé ont été créé en Afrique soutenu par la communauté internationale. Mais beaucoup de ces espaces étaient soit mal placé, trop grand, soit trop loin de tout, tout simplement ingérable.
Gestion du parc Nakuru
Cependant le parc Nakuru au Kenya tient la route malgré sa proximité avec la ville. Dès lors, des fils de fer ont été tiré pour protéger les animaux de sortir du parc. Une protection pour la population et pour la faune. Dans ce parc doté d’une réserve ornithologique, on y trouve également des rhinocéros noirs qui ont été introduits après avoir disparu, de nombreux herbivores, des lions et des léopards. Par ailleurs l’idée d’en fermer la faune pour la protéger était une solution efficace mais couteuse. C’était évident que les parcs et les réserves n’assumaient pas la protection attendue y compris le Kenya le pays phare en matière de conservation. Dans le parc Nakuru, les braconniers opéraient au sein même des espaces protégés sans rien craindre. Cependant les moyens ont été donnés à l’organisme qui gère les parcs nationaux. Des commandos ont été formés pour être au service de la faune. Les parcs et les réserves étaient considérés comme des bastions à défendre. Contrairement à d’autres pays qui livrent un quota de leurs bêtes aux fusils des chasseurs de gros gibiers qui sont des contributeurs majeurs au financement et à l’entretien des espaces protégés, le Kenya a choisi de valoriser la faune vivante. Il a ainsi misé sur le tourisme. C’est alors que le tourisme représentait le premier secteur économique du pays avant même la culture du thé.
Gestion des parcs en Afrique du Sud
En Afrique du sud contrairement au Kenya, les animaux sauvages vivent au sein d’espace protégé entièrement fermé. Dans ce pays la grande faune a disparu en dehors des parcs et des réserves. C’est le cas de la réserve d’Umfolozi dans laquelle une petite population de rhinocéros blanc a été retrouvée dans les années 70. Grâce à son effort de conservation, l’Afrique de sud est devenu au même titre que le Kenya et la Tanzanie l’une des premières destinations mondiales pour l’observation de la grande faune. On découvre dans ce film qu’en Afrique du sud il y a beaucoup de parcs privés qui pratiquent l’élevage et le commerce de la faune sauvage. Aussi en fonction de l’espace d’une réserve, on règle la population de chaque espèce en fonction qu’elle soit une proie ou un prédateur. On abat même les animaux en surnombre pour la protection des espaces protégés.
Maintenant il ne reste qu’une solution, ouvrir les barrières pour rendre de l’espace aux animaux. Actuellement il se crée au nord-ouest de Kruger un parc transfrontalier entre trois pays pour rendre libre les éléphants et autres.
Ce film est très intéressant dans la mesure où il nous présente la richesse de la faune d’Afrique et la condition dans laquelle elle est gérée. J’ai beaucoup aimé la conclusion qui demande de rendre de l’espace aux animaux. Je trouve qu’il manque peut-être des analyses des scientifiques et des interviews des autochtones pour qu’on puisse savoir ce qui se faisait avant ces dates. Ce film peut être utilisé pour sensibiliser les gestionnaires des parcs et réveillé les Etats africains à prendre conscience du harcèlement qui est fait aux animaux dans des parcs privés.
Hounmenou Madogni, étudiant en géographie
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Des parcs contre nature. L'homme & la faune d'Afrique / Dauphin (J.M.). Kifaru, 2009
L’homme et la faune d’Afrique : des Parcs contre Nature est un documentaire sur les parcs et des réserves d’Afrique. Il montre les difficultés et le profit de cette politique de conservation à travers quelques exemples.
Dans les années 70 près de 250000 km2 d’espace protégé ont été créé en Afrique soutenu par la communauté internationale. Mais beaucoup de ces espaces étaient soit mal placé, trop grand, soit trop loin de tout, tout simplement ingérable.
Gestion du parc Nakuru
Cependant le parc Nakuru au Kenya tient la route malgré sa proximité avec la ville. Dès lors, des fils de fer ont été tiré pour protéger les animaux de sortir du parc. Une protection pour la population et pour la faune. Dans ce parc doté d’une réserve ornithologique, on y trouve également des rhinocéros noirs qui ont été introduits après avoir disparu, de nombreux herbivores, des lions et des léopards. Par ailleurs l’idée d’en fermer la faune pour la protéger était une solution efficace mais couteuse. C’était évident que les parcs et les réserves n’assumaient pas la protection attendue y compris le Kenya le pays phare en matière de conservation. Dans le parc Nakuru, les braconniers opéraient au sein même des espaces protégés sans rien craindre. Cependant les moyens ont été donnés à l’organisme qui gère les parcs nationaux. Des commandos ont été formés pour être au service de la faune. Les parcs et les réserves étaient considérés comme des bastions à défendre. Contrairement à d’autres pays qui livrent un quota de leurs bêtes aux fusils des chasseurs de gros gibiers qui sont des contributeurs majeurs au financement et à l’entretien des espaces protégés, le Kenya a choisi de valoriser la faune vivante. Il a ainsi misé sur le tourisme. C’est alors que le tourisme représentait le premier secteur économique du pays avant même la culture du thé.
Gestion des parcs en Afrique du Sud
En Afrique du sud contrairement au Kenya, les animaux sauvages vivent au sein d’espace protégé entièrement fermé. Dans ce pays la grande faune a disparu en dehors des parcs et des réserves. C’est le cas de la réserve d’Umfolozi dans laquelle une petite population de rhinocéros blanc a été retrouvée dans les années 70. Grâce à son effort de conservation, l’Afrique de sud est devenu au même titre que le Kenya et la Tanzanie l’une des premières destinations mondiales pour l’observation de la grande faune. On découvre dans ce film qu’en Afrique du sud il y a beaucoup de parcs privés qui pratiquent l’élevage et le commerce de la faune sauvage. Aussi en fonction de l’espace d’une réserve, on règle la population de chaque espèce en fonction qu’elle soit une proie ou un prédateur. On abat même les animaux en surnombre pour la protection des espaces protégés.
Maintenant il ne reste qu’une solution, ouvrir les barrières pour rendre de l’espace aux animaux. Actuellement il se crée au nord-ouest de Kruger un parc transfrontalier entre trois pays pour rendre libre les éléphants et autres.
Ce film est très intéressant dans la mesure où il nous présente la richesse de la faune d’Afrique et la condition dans laquelle elle est gérée. J’ai beaucoup aimé la conclusion qui demande de rendre de l’espace aux animaux. Je trouve qu’il manque peut-être des analyses des scientifiques et des interviews des autochtones pour qu’on puisse savoir ce qui se faisait avant ces dates. Ce film peut être utilisé pour sensibiliser les gestionnaires des parcs et réveillé les Etats africains à prendre conscience du harcèlement qui est fait aux animaux dans des parcs privés.
Hounmenou Madogni, étudiant en géographie