Audiovisuel : les films
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De l'autre côté de la nuit / Journet (M.), Arte, 1999
Réalisé en 1999, De l’autre côté de la nuit est un film de Martine Journet et Gérard Nougarol. Passionnés par l’Indonésie, l’historienne Martine Journet et le musicien Gérard Nougarol ont appris depuis les années 1990 à connaître les Wana, peuple nomade vivant dans les forêts de l’Est de Sulawesi, le long des fleuves qui descendent les monts Tokkala.
À travers ce film, les cinéastes veulent présenter la culture traditionnelle de cette population afin de montrer la conception que le peuple Wana a de la santé et surtout de la maladie à partir de leurs pratiques chamaniques. C’est donc du chamanisme que traite ce film dans sa façon spirituelle mais aussi dans sa façon réelle.
Le film, via des scènes d’épreuves difficiles qui parfois sont tragiques comme une grave épidémie, montre comment les Wana font face à la maladie et à la mort par leur cérémonie de guérison du Momago et de leur danse Motaro : prières et danse traditionnelles.
Enfin, les cinéastes en s’immisçant dans l’intimité des pratiques thérapeutiques chamaniques, permettent de donner au film un côté émouvant en présentant un monde différent du nôtre où les cultures s’expriment autour de l’esprit, de la foi et de la mémoire des anciens.
Pauline Ducat, étudiante en géographie
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De l'autre côté de la nuit / Journet (M.), Arte, 1999
Réalisé en 1999, De l’autre côté de la nuit est un film de Martine Journet et Gérard Nougarol. Passionnés par l’Indonésie, l’historienne Martine Journet et le musicien Gérard Nougarol ont appris depuis les années 1990 à connaître les Wana, peuple nomade vivant dans les forêts de l’Est de Sulawesi, le long des fleuves qui descendent les monts Tokkala.
À travers ce film, les cinéastes veulent présenter la culture traditionnelle de cette population afin de montrer la conception que le peuple Wana a de la santé et surtout de la maladie à partir de leurs pratiques chamaniques. C’est donc du chamanisme que traite ce film dans sa façon spirituelle mais aussi dans sa façon réelle.
Le film, via des scènes d’épreuves difficiles qui parfois sont tragiques comme une grave épidémie, montre comment les Wana font face à la maladie et à la mort par leur cérémonie de guérison du Momago et de leur danse Motaro : prières et danse traditionnelles.
Enfin, les cinéastes en s’immisçant dans l’intimité des pratiques thérapeutiques chamaniques, permettent de donner au film un côté émouvant en présentant un monde différent du nôtre où les cultures s’expriment autour de l’esprit, de la foi et de la mémoire des anciens.
Pauline Ducat, étudiante en géographie