Info lecteur La consultation du catalogue sur le site de la cartothèque |
Autre source d'information très riche : l'annuaire des géographes. J'y trouve les géographes qui travaillent sur mon sujet et je passe par eux pour avoir des bibliographies. Enfin sur le site du Festival International de Géographie, il y a les compte rendus des tables rondes et les travaux des chercheurs qui ont fait des interventions, par thématique.
Quel usage faites-vous de la cartothèque ? Je viens pour consulter des mémoires de master, les atlas Jeune Afrique et les atlas Autrement. La salle de lecture est un de mes lieux de travail privilégié. La carto me fournit les données nécessaires à la préparation de mon terrain que je complète avec Google Earth pour voir les évolutions sur plusieurs années. Je viens aussi à la cartothèque pour papoter !
Quelle serait selon vous la cartothèque idéale ? Qu'il y ait plus d'ordinateurs dans la salle de lecture avec des logiciels de cartographie. Et des manuels de cartographie en libre service. Je pense aussi que la carto pourrait servir d'atelier : les étudiants de tous niveaux s'y retrouveraient pour s'entraider, à l'image du tutorat mais collectif et sans non plus que ce soit systématiquement l'étudiant de master qui aide l'étudiant de licence 1. Dans la même optique, il pourrait y avoir une base de données d'images raster, alimentées par les cartes des étudiants : ces cartes serviraient à tous pour fabriquer de nouvelles cartes et feraient de la salle de lecture un véritable lieu de travail.
Un dernier mot sur l'avenir professionnel d'une étudiante de master 2 en géographie ? Je soutiens début septembre 2010 et dès octobre, je prends le poste que j'ai obtenu grâce à ma réussite au concours Itrf, BAP D. Je serai ingénieur d'études en analyse de sources à l'Institut de recherche des évolutions de la nation et de l'état européen, à Nancy.
<< 1 - 2
|
Cassini : de la carte papier au SIG
|