Acheter des films ampute donc de beaucoup le budget documentaire.
Rappelons qu'une carte au 1:25 000 coûte une dizaine d'euros et un livre, une vingtaine d'euros contre une quarantaine d'euros pour un DVD.
La solution est de partager les dépenses. Comment ? La Bibliothèque Universitaire possède un gros secteur audiovisuel qui dépasse largement le seul film documentaire. La cartothèque préfère donc soumettre ses suggestions d'achat à notre correspondant. Après achat, le DVD est empruntable à la BU, dans les bacs disposés en salle violette ou autres salles. Et la cartothèque achète sur son budget des films qui ne sont pas à l'ADAV puisque la lourdeur des démarches administratives sera compensée par le faible nombre de DVD concernés.
Des films documentaires gratuits ?
Il existe des films consultables gratuitement sur internet.
Le premier site qui vient à l'esprit est celui d'Arte, fantastique réservoir d'émissions documentaires dont beaucoup touchent à la géographie. Arte a été la première chaîne à proposer un site entièrement consacré à la télévision de rattrapage : fin 2007.
La pratique du replay a bouleversé les habitudes des internautes. Il n'est plus nécessaire d'épier les heures de diffusion d'une émission à la télévision, non plus de se lancer dans la périlleuse manœuvre de son enregistrement (depuis le lancement du magnétoscope, l'effroi du spectateur lambda devant télévision, télécommande et matériel d'enregistrement n'a pas varié d'un poil et est à rapprocher de cette phobie administrative qui tétanise jusqu'aux plus hauts fonctionnaires de l'État).
Rappelons qu'une carte au 1:25 000 coûte une dizaine d'euros et un livre, une vingtaine d'euros contre une quarantaine d'euros pour un DVD.
La solution est de partager les dépenses. Comment ? La Bibliothèque Universitaire possède un gros secteur audiovisuel qui dépasse largement le seul film documentaire. La cartothèque préfère donc soumettre ses suggestions d'achat à notre correspondant. Après achat, le DVD est empruntable à la BU, dans les bacs disposés en salle violette ou autres salles. Et la cartothèque achète sur son budget des films qui ne sont pas à l'ADAV puisque la lourdeur des démarches administratives sera compensée par le faible nombre de DVD concernés.
Des films documentaires gratuits ?
Il existe des films consultables gratuitement sur internet.
Le premier site qui vient à l'esprit est celui d'Arte, fantastique réservoir d'émissions documentaires dont beaucoup touchent à la géographie. Arte a été la première chaîne à proposer un site entièrement consacré à la télévision de rattrapage : fin 2007.
La pratique du replay a bouleversé les habitudes des internautes. Il n'est plus nécessaire d'épier les heures de diffusion d'une émission à la télévision, non plus de se lancer dans la périlleuse manœuvre de son enregistrement (depuis le lancement du magnétoscope, l'effroi du spectateur lambda devant télévision, télécommande et matériel d'enregistrement n'a pas varié d'un poil et est à rapprocher de cette phobie administrative qui tétanise jusqu'aux plus hauts fonctionnaires de l'État).
L'enseignant, l'étudiant ont 7 jours pour visualiser une émission intéressante.
Inconvénient : 8 jours plus tard, le film n'est plus diffusé. S'il a une grande valeur pédagogique, il faut donc revenir à la procédure classique d'achat vue précédemment. Nous avons remarqué qu'un certain nombre de films diffusés par Arte ne sont pas dans le catalogue de notre fournisseur. Parfois, c'est une question de délai et parfois, un refus de l'éditeur, d'où la procédure d'achat en hors-marché.
Vous allez nous conseiller de commander ces émissions auprès d'Arte en hors-marché. Eh non, Arte ne vend pas aux institutions.
L'exemple d'Arte montre les limites du modèle d'achat institutionnel. A quoi il faut ajouter une contrainte technique : un particulier pourrait acquérir le film en ligne, aussitôt, hors support physique. Pour nous, c'est impossible. La VOD (vidéo à la demande) se pratique pourtant dans les bibliothèques municipales mais le catalogue proposé ne correspond pas à notre public universitaire.
Ici, l'exemple de Médi@tic, la médiathèque en ligne de la communauté d'agglomération Plaine Commune.
Inconvénient : 8 jours plus tard, le film n'est plus diffusé. S'il a une grande valeur pédagogique, il faut donc revenir à la procédure classique d'achat vue précédemment. Nous avons remarqué qu'un certain nombre de films diffusés par Arte ne sont pas dans le catalogue de notre fournisseur. Parfois, c'est une question de délai et parfois, un refus de l'éditeur, d'où la procédure d'achat en hors-marché.
Vous allez nous conseiller de commander ces émissions auprès d'Arte en hors-marché. Eh non, Arte ne vend pas aux institutions.
L'exemple d'Arte montre les limites du modèle d'achat institutionnel. A quoi il faut ajouter une contrainte technique : un particulier pourrait acquérir le film en ligne, aussitôt, hors support physique. Pour nous, c'est impossible. La VOD (vidéo à la demande) se pratique pourtant dans les bibliothèques municipales mais le catalogue proposé ne correspond pas à notre public universitaire.
Ici, l'exemple de Médi@tic, la médiathèque en ligne de la communauté d'agglomération Plaine Commune.