Oulan-Oude
Capitale de la Bouriatie sise au confluent de la Selenga et de l'Ouda. Élisée Reclus a une piètre opinion des Bouriates et on ose à peine (nous qui vivons sous les réprobations du politiquement correct) citer ses mots.
Le Bouriate est d'ordinaire peureux, maussade, grossier, indifférent, trompeur, et surtout paresseux. Sa large figure à pommettes saillantes s'éclaire rarement d'un regard franc ; ses petits yeux s'ouvrent à peine et il avance ces grosses lèvres sous un nez camus..
La suite est à lire page 747.
400 000 habitants de nos jours (3475 en 1875 lorsque Oulan-Oude se nommait Verkhne-Oudinsk), un arrêt du Transsibérien et deux gros complexes industriels : une usine de réparation de locomotives et wagons et une usine d'aviation. En moyenne, il fait -28° en janvier.
Atlas en russe sur la région du Baïkal, au 1:200 000, 1998. Cliquez pour agrandir.
Capitale de la Bouriatie sise au confluent de la Selenga et de l'Ouda. Élisée Reclus a une piètre opinion des Bouriates et on ose à peine (nous qui vivons sous les réprobations du politiquement correct) citer ses mots.
Le Bouriate est d'ordinaire peureux, maussade, grossier, indifférent, trompeur, et surtout paresseux. Sa large figure à pommettes saillantes s'éclaire rarement d'un regard franc ; ses petits yeux s'ouvrent à peine et il avance ces grosses lèvres sous un nez camus..
La suite est à lire page 747.
400 000 habitants de nos jours (3475 en 1875 lorsque Oulan-Oude se nommait Verkhne-Oudinsk), un arrêt du Transsibérien et deux gros complexes industriels : une usine de réparation de locomotives et wagons et une usine d'aviation. En moyenne, il fait -28° en janvier.
Atlas en russe sur la région du Baïkal, au 1:200 000, 1998. Cliquez pour agrandir.
Centre ville d'Oulan-Oude, aviatrice de la Grande guerre patriotique