Les outils d'information de la cartothèque
La carto a besoin d'informer ses lecteurs sur des sujets aussi variés que ses fermetures, ses nouvelles acquisitions, ses productions (publication du Journal de la carto notamment), ses collections etc.
mais aussi de transmettre des informations venues de la Bibliothèque (installation de salles de travail en groupe, sessions d'aide à la recherche documentaire...) ou du département de géographie (Journée des métiers).
La contrainte majeure ?
Les lecteurs (étudiants, enseignants, personnel) ne supportent plus l'afflux des mels. Les informations utiles sont noyées dans les spams et la plupart des expéditeurs n'ont jamais demandé l'autorisation du destinataire pour le submerger de messages.
La carto privilégie donc la diffusion par des moyens physiques :
affichage d'informations papier sur les panneaux du couloir et sur les tables de la salle de lecture
exposition des acquisitions ou des documents du fonds sur les présentoirs et grilles
information orale aux lecteurs lors des prêts, retours, demandes d'information, passage à la cartothèque
Cette information orale dépasse largement le cadre de la cartothèque. La cartothèque étant ouverte à double battants, nous avons énormément de questions qui ne relèvent ni de la documentation ni même de la géographie.
Côté information virtuelle, nous avons le site internet de la carto. Chacun est libre d'aller le consulter. Il est enrichi quotidiennement et les pages sont référencées par les moteurs de recherche.
La carto a besoin d'informer ses lecteurs sur des sujets aussi variés que ses fermetures, ses nouvelles acquisitions, ses productions (publication du Journal de la carto notamment), ses collections etc.
mais aussi de transmettre des informations venues de la Bibliothèque (installation de salles de travail en groupe, sessions d'aide à la recherche documentaire...) ou du département de géographie (Journée des métiers).
La contrainte majeure ?
Les lecteurs (étudiants, enseignants, personnel) ne supportent plus l'afflux des mels. Les informations utiles sont noyées dans les spams et la plupart des expéditeurs n'ont jamais demandé l'autorisation du destinataire pour le submerger de messages.
La carto privilégie donc la diffusion par des moyens physiques :
affichage d'informations papier sur les panneaux du couloir et sur les tables de la salle de lecture
exposition des acquisitions ou des documents du fonds sur les présentoirs et grilles
information orale aux lecteurs lors des prêts, retours, demandes d'information, passage à la cartothèque
Cette information orale dépasse largement le cadre de la cartothèque. La cartothèque étant ouverte à double battants, nous avons énormément de questions qui ne relèvent ni de la documentation ni même de la géographie.
Côté information virtuelle, nous avons le site internet de la carto. Chacun est libre d'aller le consulter. Il est enrichi quotidiennement et les pages sont référencées par les moteurs de recherche.
Nous venons de réactiver la page Facebook. Là encore, à chacun de faire le choix de la consulter.
Nous envoyons quelques messages par notre liste de diffusion Cartoliste. Première précision, nous demandons au lecteur son autorisation pour l'ajouter à cette liste. Il est évidemment possible de refuser. Deuxièmement, nous la manions avec précaution en réduisant les messages à ce qui a été annoncé aux lecteurs : la publication en ligne de notre Journal (tous les deux mois) et les fermetures exceptionnelles de la cartothèque.
Pour diffuser plus large, nous utilisons le service com' de l'université qui relaie la publication de notre Journal dans la rubrique Publications du site de l'université,
dans sa lettre d'information et sur sa page facebook.
Mels, affiches, sites internet de tout poil et pages Facebook ont tous ce même défaut de cibler un lecteur type qui n'existe pas. On en vient à établir une communication neutre, précise et courte, qui sera lue rapidement et sans risque de confusion, à la manière d'un robot vers d'autres robots. Pour ajouter à l'efficacité, la diffusion doit être réfléchie : pour chaque information, nous nous demandons quel moyen est le plus adapté.
Heureusement, la diffusion redevient humaine à la cartothèque où nous pouvons informer et former chaque lecteur en lui montrant de quoi nous parlons et en répondant à ses questions.
Nous envoyons quelques messages par notre liste de diffusion Cartoliste. Première précision, nous demandons au lecteur son autorisation pour l'ajouter à cette liste. Il est évidemment possible de refuser. Deuxièmement, nous la manions avec précaution en réduisant les messages à ce qui a été annoncé aux lecteurs : la publication en ligne de notre Journal (tous les deux mois) et les fermetures exceptionnelles de la cartothèque.
Pour diffuser plus large, nous utilisons le service com' de l'université qui relaie la publication de notre Journal dans la rubrique Publications du site de l'université,
dans sa lettre d'information et sur sa page facebook.
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Heureusement, la diffusion redevient humaine à la cartothèque où nous pouvons informer et former chaque lecteur en lui montrant de quoi nous parlons et en répondant à ses questions.