La consultation de notre Journal de la Carto continue à décroître. Cette année 2015, il est devenu bimestriel car il exige un gros travail de préparation. Une explication à cette perte d'audience est sa moindre diffusion auprès des étudiants. En effet, lorsque le lecteur s'inscrit, il remplit un formulaire dans lequel il indique s'il souhaite recevoir des informations par mel (fermetures exceptionnelles et annonce 6 fois par an de la mise en ligne de ce Journal). A quoi le lecteur répond presque invariablement non depuis deux ans. Nous ne pouvons donc plus les avertir. Il serait peut-être utile d'insister sur le peu de mels qu'ils recevront de notre part. Par ailleurs, nous diffusons l'information à propos du Journal sur notre page Facebook mais l'impact n'est pas tangible.
Dans un monde saturé d'informations, celle-ci se perd parmi des quantités d'autres. De plus, le format Journal avec ses pages à lire n'est sans doute plus adapté à un public qui ne lit plus. Convertir notre Journal en tweet ? Avec 140 signes, on y gagnerait le temps de préparation et on aurait des taux de lecture fantastiques.
Plus sérieusement, ce Journal est très important pour nous, le personnel de la cartothèque, car sa rédaction nous permet de nous informer, de réfléchir et de diffuser des connaissances dans le domaine de la documentation et de la géographie en général. Il témoigne à sa façon de la vie d'une cartothèque au début du XXIe siècle et sa trace en est gardée sur internet.
Dans un monde saturé d'informations, celle-ci se perd parmi des quantités d'autres. De plus, le format Journal avec ses pages à lire n'est sans doute plus adapté à un public qui ne lit plus. Convertir notre Journal en tweet ? Avec 140 signes, on y gagnerait le temps de préparation et on aurait des taux de lecture fantastiques.
Plus sérieusement, ce Journal est très important pour nous, le personnel de la cartothèque, car sa rédaction nous permet de nous informer, de réfléchir et de diffuser des connaissances dans le domaine de la documentation et de la géographie en général. Il témoigne à sa façon de la vie d'une cartothèque au début du XXIe siècle et sa trace en est gardée sur internet.
La consultation de cartes topographiques sur place est en forte baisse. L'utilisation des cartes murales continue à diminuer (28 cartes sorties cette année). Même constat pour les mémoires de master : 211 en 2013, 100 en 2014, 50 en 2015. Cela correspond à la forte baisse des soutenances de master. Atlas et usuels restent consultés.
Assistons-nous à la transformation d'un lieu de documentation géographique à un espace d'information ?
Les questions qui nous sont posées et ne concernent pas la cartothèque augmentent fortement : moins de 600 l'année dernière, près de 800 cette année. Peut-on établir une relation entre une communication virtuelle qui noie étudiants, enseignants et personnel administratif et le manque de disponibilité physique des uns et des autres que nous constatons chaque jour à la cartothèque ? Il serait bon de faire une enquête (papier !) sur ce phénomène pour rétablir des relations plus saines entre les diverses composantes de ce département.
Assistons-nous à la transformation d'un lieu de documentation géographique à un espace d'information ?
Les questions qui nous sont posées et ne concernent pas la cartothèque augmentent fortement : moins de 600 l'année dernière, près de 800 cette année. Peut-on établir une relation entre une communication virtuelle qui noie étudiants, enseignants et personnel administratif et le manque de disponibilité physique des uns et des autres que nous constatons chaque jour à la cartothèque ? Il serait bon de faire une enquête (papier !) sur ce phénomène pour rétablir des relations plus saines entre les diverses composantes de ce département.