Une affluence record
En 2001, la cartothèque avait 278 lecteurs inscrits. Puis ce nombre a diminué pour stagner autour de 200 de 2007 à 2014. Une petite remontée a eu lieu les deux dernières années (236 et 237 lecteurs).
Mais cette année, nous assistons à un boom !
264 lecteurs sont déjà inscrits en fin de premier semestre.
Avec 169 géographes, nous avons déjà atteint le total annuel de 2015-2016. Ajoutons un renfort de Miashs : de 9 à 19 et la présence stable de nos historiens (35 l'année dernière, 38 à la fin de ce semestre).
Nous avons une explication que nous portons toute crue à votre attention.
Dès octobre et particulièrement en novembre et décembre 2016, les étudiants de géographe sont venus par dizaines emprunter des cartes à la cartothèque. Des cartes papier qu'ils devaient analyser, commenter, disséquer ou transformer en croquis. Nous n'avions jamais vu une telle affluence, tous nos manuels de commentaires de cartes étaient empruntés et notre catalogue chauffait sous les recherches.
L'exercice sur la carte est la pratique usuelle d'un certain nombre d'enseignants de géographie mais cette année, d'autres enseignants ont proposé ce type de travail, notamment nos deux nouvelles recrues.
En 2001, la cartothèque avait 278 lecteurs inscrits. Puis ce nombre a diminué pour stagner autour de 200 de 2007 à 2014. Une petite remontée a eu lieu les deux dernières années (236 et 237 lecteurs).
Mais cette année, nous assistons à un boom !
264 lecteurs sont déjà inscrits en fin de premier semestre.
Avec 169 géographes, nous avons déjà atteint le total annuel de 2015-2016. Ajoutons un renfort de Miashs : de 9 à 19 et la présence stable de nos historiens (35 l'année dernière, 38 à la fin de ce semestre).
Nous avons une explication que nous portons toute crue à votre attention.
Dès octobre et particulièrement en novembre et décembre 2016, les étudiants de géographe sont venus par dizaines emprunter des cartes à la cartothèque. Des cartes papier qu'ils devaient analyser, commenter, disséquer ou transformer en croquis. Nous n'avions jamais vu une telle affluence, tous nos manuels de commentaires de cartes étaient empruntés et notre catalogue chauffait sous les recherches.
L'exercice sur la carte est la pratique usuelle d'un certain nombre d'enseignants de géographie mais cette année, d'autres enseignants ont proposé ce type de travail, notamment nos deux nouvelles recrues.
Est-il utile de préciser que la cartothèque s'en réjouit ? D'abord et ça fait plaisir, la carte papier n'est pas encore morte. Puis nos collections sont suffisamment fournies pour avoir alimenté plus d'une centaine d'emprunts sur le 1:25 000 et le 1:50 000 topographiques de la France. Enfin, notre catalogue et ses particularités dont celle de signaler les cartes contenues dans les atlas, usuels et monographies a permis de répondre finement aux demandes de cartes thématiques des lecteurs.
Une fois le lecteur entré dans la cartothèque (par obligation), nous pouvons lui expliquer tranquillement les us et coutumes de la cartothèque et rassuré, il hésitera moins à revenir pour des demandes documentaires, pédagogiques ou relevant de la bonne marche du département (dont LA question : est-ce que vous avez vu monsieur Da Lage ?).
Merci à tous les enseignants qui ont poussé leurs étudiants à consulter et emprunter les documents de la cartothèque.
Une fois le lecteur entré dans la cartothèque (par obligation), nous pouvons lui expliquer tranquillement les us et coutumes de la cartothèque et rassuré, il hésitera moins à revenir pour des demandes documentaires, pédagogiques ou relevant de la bonne marche du département (dont LA question : est-ce que vous avez vu monsieur Da Lage ?).
Merci à tous les enseignants qui ont poussé leurs étudiants à consulter et emprunter les documents de la cartothèque.