Retour - Métiers de la géographie
Rencontre avec Djeidie Colot
Pouvez-vous vous présenter à nos lecteurs ?
Je me nomme Djeidie Colot, je suis titulaire d’une licence de Géographie Aménagement Environnement obtenue à l’université Paris 8, en 2017. Actuellement, je suis en Master 1 EDRTP (Exploitation et développement des réseaux de transports publics) en alternance à l’université de Cergy Pontoise.
Pourquoi avoir choisi la géographie et votre master ?
Pour la réalité du terrain. En géographie et surtout à Paris 8, les professeurs ne nous apprennent seulement la théorie mais aussi la pratique car c’est la compréhension du terrain qui forme le géographe. Ce master EDRTP est spécialisé dans les transports publics, discipline qui m'intéresse.
A-t-il été difficile de trouver un master à la fin de la licence ?
Trouver un master n’est pas difficile. Ce qui est difficile, c’est le choix de la filière et du métier que nous souhaitons exercer plus tard. La géographie est une matière qui ouvre la porte à un grand panel de masters car c’est une matière qui touche à tout.
Quelles difficultés rencontrez-vous le plus fréquemment dans votre master et quel est l'aspect le plus plaisant ?
La première difficulté, c’est trouver une entreprise pour l’alternance. La seconde a été mon premier semestre et malheureusement je n’ai pas accroché aux matières. Je les trouvais trop générales et je comprenais pas le lien avec mon alternance. Toutefois, mon second semestre est beaucoup mieux car il est professionnalisant et en rapport avec ce que je fais à l’entreprise. Il y a plusieurs aspects plaisants : le premier, c’est d’être en entreprise car nous sommes confrontés à la réalité. Le second, c’est l’ambiance au sein de notre master. Nous ne sommes pas nombreux et tout le monde s’entend plus ou moins.
Collaborez-vous avec des personnes de professions différentes pour réaliser vos projets ?
Au sein de mon master, nous découvrons tous les métiers liés au transport : le marketing, l’exploitation, le bureau d’étude etc... Indubitablement, nous devons travailler ensemble, c’est de la complémentarité. Un des projets que nous avons tous apprécié est un projet en droit : nous devions présenter un sujet qui était imposé mais sur un support libre (vidéo, reportage, bande dessinée etc.).
Pensez-vous que votre parcours universitaire vous a bien préparée et avez-vous des conseils pour les étudiants ?
Je répondrais oui. Les transports sont intimement liés à l’espace que nous pratiquons. Aux étudiants, réfléchissez à ce que vous voulez devenir et surtout, privilégiez une filière d’avenir où on aura toujours besoin d’ingénieurs comme les transports publics.
Comment voyez-vous votre avenir ?
J’y suis, j’y reste. J’ai trouvé un équilibre au second semestre et je m’épanouis au sein de mon entreprise.
Interview par Romain Martel. Juin 2018
Rencontre avec Djeidie Colot
Pouvez-vous vous présenter à nos lecteurs ?
Je me nomme Djeidie Colot, je suis titulaire d’une licence de Géographie Aménagement Environnement obtenue à l’université Paris 8, en 2017. Actuellement, je suis en Master 1 EDRTP (Exploitation et développement des réseaux de transports publics) en alternance à l’université de Cergy Pontoise.
Pourquoi avoir choisi la géographie et votre master ?
Pour la réalité du terrain. En géographie et surtout à Paris 8, les professeurs ne nous apprennent seulement la théorie mais aussi la pratique car c’est la compréhension du terrain qui forme le géographe. Ce master EDRTP est spécialisé dans les transports publics, discipline qui m'intéresse.
A-t-il été difficile de trouver un master à la fin de la licence ?
Trouver un master n’est pas difficile. Ce qui est difficile, c’est le choix de la filière et du métier que nous souhaitons exercer plus tard. La géographie est une matière qui ouvre la porte à un grand panel de masters car c’est une matière qui touche à tout.
Quelles difficultés rencontrez-vous le plus fréquemment dans votre master et quel est l'aspect le plus plaisant ?
La première difficulté, c’est trouver une entreprise pour l’alternance. La seconde a été mon premier semestre et malheureusement je n’ai pas accroché aux matières. Je les trouvais trop générales et je comprenais pas le lien avec mon alternance. Toutefois, mon second semestre est beaucoup mieux car il est professionnalisant et en rapport avec ce que je fais à l’entreprise. Il y a plusieurs aspects plaisants : le premier, c’est d’être en entreprise car nous sommes confrontés à la réalité. Le second, c’est l’ambiance au sein de notre master. Nous ne sommes pas nombreux et tout le monde s’entend plus ou moins.
Collaborez-vous avec des personnes de professions différentes pour réaliser vos projets ?
Au sein de mon master, nous découvrons tous les métiers liés au transport : le marketing, l’exploitation, le bureau d’étude etc... Indubitablement, nous devons travailler ensemble, c’est de la complémentarité. Un des projets que nous avons tous apprécié est un projet en droit : nous devions présenter un sujet qui était imposé mais sur un support libre (vidéo, reportage, bande dessinée etc.).
Pensez-vous que votre parcours universitaire vous a bien préparée et avez-vous des conseils pour les étudiants ?
Je répondrais oui. Les transports sont intimement liés à l’espace que nous pratiquons. Aux étudiants, réfléchissez à ce que vous voulez devenir et surtout, privilégiez une filière d’avenir où on aura toujours besoin d’ingénieurs comme les transports publics.
Comment voyez-vous votre avenir ?
J’y suis, j’y reste. J’ai trouvé un équilibre au second semestre et je m’épanouis au sein de mon entreprise.
Interview par Romain Martel. Juin 2018