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Rencontre avec Marion Corbin, étudiante en master 2
Pourriez-vous vous présenter en quelques mots à nos lecteurs ?
Je suis Marion Corbin, étudiante au département de géographie depuis 2003, actuellement en train de boucler mon master 2 recherche dont la thématique est : approche critique des questions d'éducation dans la géographie du sous-développement (Afrique, Burkina Faso, Madagascar).
La recherche documentaire tient-elle une place importante dans votre travail ?
Très importante, oui !
A quels outils avez-vous recours pour effectuer vos recherches documentaires ?
J'utilise beaucoup les ressources électroniques : base de données et périodiques en ligne. Celles qu'offre la BU, celles de Beaubourg aussi dont l'interface utilisateur est bien faite. Les articles du Monde qui sont très complets me donnent idée de petites problématiques dans le cadre de ma thématique générale.
Je consulte le Sudoc. Je fouille les sites du CNRS, de l'IRD, ou de sites plus spécialisés en géographie comme Cybergéo.
L'éditeur Jeune Afrique possède de bons atlas avec en plus des références à des sites intéressants dans leur bibliographie. Je lis aussi beaucoup de livres : rien ne remplace le livre !
Dans quelles bibliothèques ou cartothèques vous êtes-vous déjà rendue pour consulter des ouvrages, dans le cadre de votre Master ?
A la BU de Paris 8, de Paris 13, à la bibliothèque de l'Institut de Géographie, à Beaubourg qui possède beaucoup de documents utiles en économie et des revues dont les articles sont tous répertoriés depuis 1997.
Goggle Books aussi m'est très utile et depuis peu, les sites d'ebooks pour mon iPhone. Je récupère des livres intéressants et récents comme Le Pari de la décroissance de Serge Latouche (2006).
Pour m'informer sur l'habitat africain, je fréquente les écoles d'architecture comme celle du Val de Seine qui ont énormément de bouquins sur le bâti. Je consulte aussi les livres chez l'Harmattan pour récupérer les bibliographies dans les ouvrages spécialisés.
Autre source d'information très riche : l'annuaire des géographes. J'y trouve les géographes qui travaillent sur mon sujet et je passe par eux pour avoir des bibliographies. Enfin sur le site du Festival International de Géographie, il y a les compte rendus des tables rondes et les travaux des chercheurs qui ont fait des interventions, par thématique.
Quel usage faites-vous de la cartothèque ?
Je viens pour consulter des mémoires de master, les atlas Jeune Afrique et les atlas Autrement. La salle de lecture est un de mes lieux de travail privilégié. La carto me fournit les données nécessaires à la préparation de mon terrain que je complète avec Google Earth pour voir les évolutions sur plusieurs années. Je viens aussi à la cartothèque pour papoter !
Quelle serait selon vous la cartothèque idéale ?
Qu'il y ait plus d'ordinateurs dans la salle de lecture avec des logiciels de cartographie. Et des manuels de cartographie en libre service. Je pense aussi que la carto pourrait servir d'atelier : les étudiants de tous niveaux s'y retrouveraient pour s'entraider, à l'image du tutorat mais collectif et sans non plus que ce soit systématiquement l'étudiant de master qui aide l'étudiant de licence 1.
Dans la même optique, il pourrait y avoir une base de données d'images raster, alimentées par les cartes des étudiants : ces cartes serviraient à tous pour fabriquer de nouvelles cartes et feraient de la salle de lecture un véritable lieu de travail.
Un dernier mot sur l'avenir professionnel d'une étudiante de master 2 en géographie ?
Je soutiens début septembre 2010 et dès octobre, je prends le poste que j'ai obtenu grâce à ma réussite au concours Itrf, BAP D. Je serai ingénieur d'études en analyse de sources à l'Institut de recherche des évolutions de la nation et de l'état européen, à Nancy.
Septembre 2010
Rencontre avec Marion Corbin, étudiante en master 2
Pourriez-vous vous présenter en quelques mots à nos lecteurs ?
Je suis Marion Corbin, étudiante au département de géographie depuis 2003, actuellement en train de boucler mon master 2 recherche dont la thématique est : approche critique des questions d'éducation dans la géographie du sous-développement (Afrique, Burkina Faso, Madagascar).
La recherche documentaire tient-elle une place importante dans votre travail ?
Très importante, oui !
A quels outils avez-vous recours pour effectuer vos recherches documentaires ?
J'utilise beaucoup les ressources électroniques : base de données et périodiques en ligne. Celles qu'offre la BU, celles de Beaubourg aussi dont l'interface utilisateur est bien faite. Les articles du Monde qui sont très complets me donnent idée de petites problématiques dans le cadre de ma thématique générale.
Je consulte le Sudoc. Je fouille les sites du CNRS, de l'IRD, ou de sites plus spécialisés en géographie comme Cybergéo.
L'éditeur Jeune Afrique possède de bons atlas avec en plus des références à des sites intéressants dans leur bibliographie. Je lis aussi beaucoup de livres : rien ne remplace le livre !
Dans quelles bibliothèques ou cartothèques vous êtes-vous déjà rendue pour consulter des ouvrages, dans le cadre de votre Master ?
A la BU de Paris 8, de Paris 13, à la bibliothèque de l'Institut de Géographie, à Beaubourg qui possède beaucoup de documents utiles en économie et des revues dont les articles sont tous répertoriés depuis 1997.
Goggle Books aussi m'est très utile et depuis peu, les sites d'ebooks pour mon iPhone. Je récupère des livres intéressants et récents comme Le Pari de la décroissance de Serge Latouche (2006).
Pour m'informer sur l'habitat africain, je fréquente les écoles d'architecture comme celle du Val de Seine qui ont énormément de bouquins sur le bâti. Je consulte aussi les livres chez l'Harmattan pour récupérer les bibliographies dans les ouvrages spécialisés.
Autre source d'information très riche : l'annuaire des géographes. J'y trouve les géographes qui travaillent sur mon sujet et je passe par eux pour avoir des bibliographies. Enfin sur le site du Festival International de Géographie, il y a les compte rendus des tables rondes et les travaux des chercheurs qui ont fait des interventions, par thématique.
Quel usage faites-vous de la cartothèque ?
Je viens pour consulter des mémoires de master, les atlas Jeune Afrique et les atlas Autrement. La salle de lecture est un de mes lieux de travail privilégié. La carto me fournit les données nécessaires à la préparation de mon terrain que je complète avec Google Earth pour voir les évolutions sur plusieurs années. Je viens aussi à la cartothèque pour papoter !
Quelle serait selon vous la cartothèque idéale ?
Qu'il y ait plus d'ordinateurs dans la salle de lecture avec des logiciels de cartographie. Et des manuels de cartographie en libre service. Je pense aussi que la carto pourrait servir d'atelier : les étudiants de tous niveaux s'y retrouveraient pour s'entraider, à l'image du tutorat mais collectif et sans non plus que ce soit systématiquement l'étudiant de master qui aide l'étudiant de licence 1.
Dans la même optique, il pourrait y avoir une base de données d'images raster, alimentées par les cartes des étudiants : ces cartes serviraient à tous pour fabriquer de nouvelles cartes et feraient de la salle de lecture un véritable lieu de travail.
Un dernier mot sur l'avenir professionnel d'une étudiante de master 2 en géographie ?
Je soutiens début septembre 2010 et dès octobre, je prends le poste que j'ai obtenu grâce à ma réussite au concours Itrf, BAP D. Je serai ingénieur d'études en analyse de sources à l'Institut de recherche des évolutions de la nation et de l'état européen, à Nancy.
Septembre 2010